Famille de La Porte

Famille de La Porte
Seigneur du Francboisier

Au XVI ème siècle, deux familles nobles se nommant de La Porte vivaient dans le Vexin Normand, l’une, possédait les fiefs de Château-sur-Epte, de Suzay, de Farceaux, de Neuville (ou Neufville), d’Hacqueville, d’Arquency (ou d’Harquency), l’autre les fiefs de Montagny, de Bruquedalle, de Vatteville, du Francboisier et du Mesnil.

C’est la seconde la famille de La Porte qui fut propriétaire du Francboisier.

L’histoire commence par Jean de La Porte.

        Blason de La Porte Armes : « d’azur, au chevron d’argent, accompagné en chef de deux roses d’or et en pointe d’une étoile d’argent (ou d’or) ».

Blason de La Porte
Armes : « d’azur, au chevron d’argent, accompagné en chef de deux roses d’or et en pointe d’une étoile d’argent (ou d’or) ».

La lecture du catalogue des actes de François 1er informe que Jean de La Porte fut anobli en 1534.

C’est vers 1542, date à laquelle il acquiert le Francboisier aux héritiers de Guillaume du Busc, qu’il épouse Catherine de Gayant, dame du Plessis, fille et unique héritière de François du Plessis, receveur de la taille en l’élection de Gisors.

En 1542, il fut nommé lieutenant général du baillage de Gisors et des Andelys, office qu’il tiendra jusqu’à son décès en 1575.

Jean de La Porte et son épouse Catherine Gayant eurent deux fils, Georges et Quentin, et deux filles, Catherine et Marguerite.

Leur fille Catherine épousera Pierre Alorge, seigneur d’Ardenville.

          Blason Alorge Armes : « de gueules, à trois gerbes d’or, accompagnées de sept mollettes d’éperon du même, trois rangées en chef, une en cœur et trois en pointe, deux et une ».

Blason Alorge
Armes : « de gueules, à trois gerbes d’or, accompagnées de sept mollettes d’éperon du même, trois rangées en chef, une en cœur et trois en pointe, deux et une ».

Leur seconde fille Marguerite épousera Jean Brice, écuyer, seigneur de Bouquelon et de Mesanguemare, auditeur en la chambre des comptes en 1582.

      Blason Brice Armes : « écartelé au 1er et 4 ème d’or au chevron d’azur accompagnée de trois brosses [soucis, P., à tort] de sable, 2 en chef et 1 en pointe ; au 2 ème et 3 ème de gueules à la mollette d’éperon d’or [d’argent, P.] surmontée d’une couronne fermée d’or, les écarts séparés par une croix d’azur fuzelée d’or ».

Blason Brice
Armes : « écartelé au 1er et 4 ème d’or au chevron d’azur accompagnée de trois brosses [soucis, P., à tort] de sable, 2 en chef et 1 en pointe ; au 2 ème et 3 ème de gueules à la mollette d’éperon d’or [d’argent, P.] surmontée d’une couronne fermée d’or, les écarts séparés par une croix d’azur fuzelée d’or ».

Leurs deux fils firent de brillantes carrières de juristes et contribuèrent à élever très rapidement la famille dans la noblesse de robe du parlement de Rouen.

Leur second fils, Quentin, né vers 1554, devint à 21 ans lieutenant général du baillage de Gisors. Il succéda ainsi à son père.
Le 18 août 1578, il fut reçu conseiller au parlement de Normandie et le 13 juin 1581 Quentin de La Porte est reçu maître des requêtes.

Le 2 mai 1580, Quentin de La Porte épousa Marie-Madeleine Asselin, veuve de Thomas Voisin, seigneur d’Infreville.
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         Blason Asselin Armes : « d’azur au chevron d’or, accompagné de deux étoiles d’argent en chef et d’un croissant de même en pointe ».

Blason Asselin
Armes : « d’azur au chevron d’or, accompagné de deux étoiles d’argent en chef et d’un croissant de même en pointe ».

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        Blason Voisin Armes : « d’azur au vol de perdrix d’argent posé en cœur accompagné de deux croissants [d’or, P.] en chef et d’une croix tréflée d’or en pointe ».

Blason Voisin
Armes : « d’azur au vol de perdrix d’argent posé en cœur accompagné de deux croissants [d’or, P.] en chef et d’une croix tréflée d’or en pointe ».

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Par ce mariage, Quentin de La Porte deviendra seigneur d’Infreville ; il décèdera en 1588 sans postérité.

Son frère, Georges de La Porte, né vers 1543 en la paroisse de Saint-Laurent à Rouen, fit également une brillante carrière de parlementaire.

Le 13 mars 1568, il est reçu conseiller lay au parlement de Rouen.

Le 13 novembre 1570, deux ans plus tard, il est nommé procureur général du parlement de Normandie.

Georges de La Porte à cette époque, était suffisamment riche et intime avec le roi Charles IX, pour lui prêter quatre mille écus, pour lui permettre de « subvenir » à ses affaires !

Georges de La Porte épouse le 15 août 1571 Marie du Four.

       Blason du Four Armes : « d’azur à l’estoillle d’or en coeur accompagnée de trois croissants de même, 2 en chef et 1 en pointe ».

Blason du Four
Armes : « d’azur à l’estoillle d’or en coeur accompagnée de trois croissants de même, 2 en chef et 1 en pointe ».

Marie du Four est la fille de Robert du Four et de Marguerite Voisin de la Haye-des-Mares, son arrière-grand-père est Pierre du Four.
Pierre du Four fut l’un des bourgeois de Rouen qui, au péril de sa vie, participa à la bataille menée par Charles VII pour délivrer la ville de Rouen occupée par les Anglais.
Ce fait d’armes permit à la famille du Four d’être anoblie.

Georges et Marie eurent deux fils, Tanneguy et Georges (II), et quatre filles, Marie Renée, Catherine, Madeleine et Marie.

Après son mariage, Georges de La Porte acquit la seigneurie de Montagny-sur-Nolléval et, le 29 avril 1580, il acheta la seigneurie de Bruquedalle.

Le 15 novembre 1589, la ville de Rouen est aux mains des ligueurs, les états généraux de la province se tiennent à Caen. Georges de La Porte, ligueur convaincu, est resté à Rouen et refuse de participer aux états généraux de 1589 ni à ceux d’avril 1590.

Le 25 juin 1591, Georges de La Porte, par arrêt rendu à Caen, est déchu de sa charge de procureur général, pour forfaiture.

A la fin des guerres de religions en1594, Henri IV, par édit royal, rétablit le parlement en la ville de Rouen et pardonne aux magistrats de Rouen, « longtemps querelleurs », tout ce qu’ils avaient fait.
Georges de la Porte se trouve ainsi amnistié et reprend sa charge de procureur général.

Le 15 février 1595, le roi Henri IV, par lettre patente, accorde à Georges de La Porte la continuation pour neuf ans de sa pension pour la charge de son office de procureur général.

Le 15 avril 1597, Georges de La Porte et Nicolas Le Jumel, seigneur de Lisores, « échangent » leurs offices de procureur général et de président à mortier, au grand déplaisir du premier président Groulard, qui n’aimait pas Georges de La Porte et le considérait comme un « dangereux brouillon » !

Juriste, intellectuel, Georges de La Porte fut également poète. En 1607, il est président de l’académie de l’Immaculée Conception à Rouen et son nom est mentionné sur la liste des « Princes de l’Académie des Poètes ».

Le 23 juillet 1610, Georges de La Porte décède à l’âge de 68 ans. Il a été inhumé à Saint-Sauveur-du-Petit-Andelys.

Comme il est de tradition dans la famille, les deux fils de Georges de La Porte embrasseront la carrière de juriste.

Son fils cadet, Georges (II), née vers 1585, est en 1610 chevaliers, seigneur du Francboisier et conseiller au Grand Conseil.

Le 22 décembre 1622, George (II) de La Porte est nommé maître des requêtes. Il fera carrière non à Rouen mais à Paris.

A cette époque, il est seigneur du Francboisier, de Montagny, de Vatteville et grand rapporteur de France.

Vers 1625 (estimation), Georges (II) épouse à Paris Françoise Chevalier.

Ils auront une fille Catherine.

Le 2 mars 1633, le révérend père Ignace Le Gavit, gardien de l’ordre des récollets de Paris, écrit un sermon qu’il dédie à « Monseigneur Georges de La Porte, seigneur de la Framboisière, conseiller du roy en ses conseils d’État et privé et maître des requêtes ordinaires de son hôtel ».

En 1642, Georges (II) résigne son office de maître des requêtes.

Le 30 octobre 1652, sa fille Catherine de La Porte, épouse Maximilien Alpin de Béthune.

Blason de Bethune Charost Armes : « d’argent à la fasce de gueules, brisée d’un lambel de même ».

Blason de Bethune Charost
Armes : « d’argent à la fasce de gueules, brisée d’un lambel de même ».

Georges (II) de La Porte, en conduisant sa fille vers l’autel , devait être particulièrement fier et heureux.
Son enfant unique, sa fille aimée, épousait le petit-fils du grand Sully, ministre d’Henri IV.
Jamais, il n’aurait pu imaginer que, à cause de cette union, sa fille connaîtra un incroyable drame physique, moral et financier !

Son époux, Maximilien Alpin, s’est avéré un escroc, un spoliateur, un débauché, un pervers, un sadique (bien que ce mot n’existât pas à l’époque, le marquis de Sade n’étant pas né !).

Une longue suite de malversations, d’escroqueries et de détournements de dot conduisit à la sentence de séparation de biens du 15 mars 1656 (3 ans et demi après le mariage).
Et bien qu’elle lui ait donné cinq enfants et qu’en ces temps-là, la procédure de divorce ne fût pas permise, devant la liste incommensurable des menaces, des actes de débauche et des sévices inimaginables commis par Maximilien Alpin de Béthune, la séparation de corps fut jugée par la sentence du prévôt de Paris le 24 septembre 1667.

Dans un factum conservé à la Bibliothèque nationale de France, on découvre sur 8 pages quelles furent les horreurs que connut Catherine de La Porte pendant les douze années de son mariage.

Georges (II) décédera après 1667 (vers l’âge de 83 ans !).

Le fils aînée de Georges de La Porte, Tanneguy de La Porte, est né à Rouen en la paroisse Saint-Laurent le 18 octobre 1582.

Le 7 juin 1605, à l’âge de 23 ans, il est reçu conseiller lay au parlement de Rouen. Il ne dut pas participer beaucoup aux obligations de sa charge, car il voyagea en Italie et, dès 1607, il résigna son office au bénéfice de Charles Baudry, seigneur de Biville.

Le 18 avril 1611, Tannéguy est reçu conseiller du roi en la cour du parlement de Rouen et devient président aux requêtes du palais par la résignation de Robert Le Roux, seigneur de Tilly.

En 1612, Tannéguy de La Porte et son frère Georges (II) donnent à bail pour 6 ans le manoir seigneurial du Francboisier et ses dépendances.
(Michel Le Tailleur étant fermier et receveur de la seigneurie du Francboisier en 1622, je pense qu’il fut le bénéficiaire de ce bail.)

C’est vers cette époque que les de La Porte construisirent le manoir et les bâtiments de la cour-masure du Francboisier.

Francboisier, le manoir facade est.

Francboisier, le manoir facade est.

 

Cadastre  de 1828, plan de la cour-masure du manoir du Francboisier AD 27,  cote 3PL1034 bis.

Cadastre de 1828, plan de la cour-masure du manoir du Francboisier
AD 27, cote 3PL1034 bis.

Le 7 octobre 1613, Tannéguy de La Porte épouse, en la Paroisse Saint-Candé-le-Jeune à Rouen, Isabeau (ou Izabeau) Françoise de Marbeuf, dame d’Ymare, fille de Pierre de Marbeuf, seigneur d’Ymare (ou Imare) et de Sahurs, et de Marie Hellouin.

   Blason de Marbeuf Armes : « d’azur à la face d’or chargée de trois testes de boeuf [de gueules, P] ».

Blason de Marbeuf
Armes : « d’azur à la face d’or chargée de trois testes de boeuf [de gueules, P] ».

Isabeau Françoise de Marbeuf était dame d’honneur de la reine Marie de Médicis, épouse du roi Henri IV, qui fut régente du royaume pendant la minorité de Louis XIII.

Portrait de Marie de Medicis par Pourbus le Jeune, Louvre, (Wikipédia).

Portrait de Marie de Medicis par Pourbus le Jeune, Louvre, (Wikipédia).

De cette union deux fils naîtront, Charles et Jacques,

En 1614, Tanneguy de La Porte résigne son office de président aux requêtes du palais au bénéfice de Jean de la Léthumière.
Ce sera la fin de sa carrière de haut magistrat, car, s’il a eu un brevet de conseiller d’État au parlement de Rouen, il n’en a fait aucune fonction.

En janvier 1638, Tanneguy de La Porte décède à l’âge de 56 ans.

Son fils cadet, Jacques de La Porte, est baptisé en l’église Saint-Laurent de Rouen le 25 novembre 1627.

Jacques de La Porte fut page du duc de Longueville, en 1652 il épouse Geneviève de Fours, fille de Michel (Guy) de Fours, seigneur de Quitry et gouverneur d’Honfleur.
Les armes de la famille de Fours étaient : « d’azur à la croix engrêlée d’or ».

De cette union naîtront trois enfants:

Louis (ou Charles), baptisé le 29 mai 1663 à Rouen en la paroisse Sainte-Croix-de-Saint-Ouen, décédé le 22 juin 1696 à Rouen, paroisse Saint-pierre-l’Honoré.

Marguerite de La Porte née en 1663, (jumelle de Louis?), qui se maria trois fois avec respectivement:

  1. Le 30 mai 1694 à Rouen, paroisse Saint-Pierre-l’Honoré avec Jean Alexandre de Thieuville, sieur de Groussy;
  2. le 27 février 1696 à Rouen, paroisse Saint-Pierre-l’Honoré, avec Louis Charles Stoppa;
  3. et le 25 février 1697 à Rouen, paroisse Saint-Pierre-l’Honoré, avec Jacque de Rassent, sieur de La Chauvinière, seigneur de Boscrobert à Gisay.

Louis Charles Stoppa étant décédé le 17 octobre 1699, le remariage de    Marguerite en 1697 interpella l’auteur! Il entreprit maintes recherches … qui lui ont permit d’écrire la biographie complète de la famille Stoppa, lire “Un canal de sang de Bâle à Paris” aux éditions du Palio ou consulter le site internet http://histoirestoppa.com

Louis, sieur du Bosc-du-Bois, qui épousera le 28 février 1693 àRouen, paroisse Saint-Pierre-l’Honoré, Marie anne Louise Agathe de La Chaussée d’Eu.

Le 8 septembre 1652, Jacques de La Porte est chevalier et seigneur du Francboisier, lorsqu’il achète à Jehan Le Tailleur (fils de feu Michel Le Tailleur) une masure d’une acre environ avec maison et dépendances et six vergées de terre à Saint-Pierre-du-Bosguérard, pour 480 livres.

Le 21 juillet 1661, Jacques de La Porte, est pourvu avocat au parlement en la cour des aides de Normandie en remplacement d’Olivier Druel, il est reçu le 19 novembre 1661.

         Blason Druel Armes : «  d’azur au chevron d’argent accompagné de deux molettes d’éperon d’or en chef et d’une coquille d’or en pointe ».

Blason Druel
Armes : « d’azur au chevron d’argent accompagné de deux molettes d’éperon d’or en chef et d’une coquille d’or en pointe ».

Jacques de La Porte résigne son office d’avocat en 1697, probablement par son décès.

C’est vers 1667 et avant 1669 que la famille de La Porte a vendu le fief du Francboisier à la famille Aubery.

Son frère aînée Charles, née vers 1622, héritera au décès de son père, Tanneguy de La Porte, des seigneuries de Montagny, de Bruquedalle, de Vatteville et du Francboisier.

Le 4 août 1649, Charles de La Porte est écuyer, baron et seigneur de Montagny, du Francboisier, de Bruquedalle, de Vatteville, lorsqu’il épousa Marguerite du Bosc de Radepont.

Son épouse, Marguerite du Bosc de Radepont, était la fille du sieur Léonor 1er du Bosc, chevalier, marquis de Radepont, de Fleury, de Bonteville et d’Autierville, et de dame Marie de Gonnelieu (décédée le 10 mai 1648).
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Blason de Bosc de Radepont Armes : « d’azur à la molette d’éperon d’or en cœur accompagnée de trois fers de lances antiques [roquets, P.] d’argent, 2 et 1 ».

Blason de Bosc de Radepont
Armes : « d’azur à la molette d’éperon d’or en cœur accompagnée de trois fers de lances antiques [roquets, P.] d’argent, 2 et 1 ».

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   Blason de Gonnelieu Armes : « d’or a une bande de sable ».

Blason de Gonnelieu
Armes : « d’or a une bande de sable ».

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Marguerite fut dame d’honneur d’Anne d’Autriche, épouse du roi Louis XIII et régente du futur roi Louis XIV pendant la minorité de celui-ci.

Portrait d'Anne d'Autriche par Rubens en 1625, (Wikipédia).

Portrait d’Anne d’Autriche par Rubens en 1625, (Wikipédia).

En 1646, Marguerite du Bosc fonda le monastère des Pénitents du Tiers-Ordre à Louviers.

Le 21 juin 1651, Charles de La Porte fut reçu conseiller lay au parlement de Rouen puis conseiller d’État.
Il est décrit par Monsieur Pellot, premier président du parlement de Normandie, comme: « Fol, extravagant, va pourtant à ses fins, voudroit servir et entend assez les affaires et parle » (orthographe d’origine).

Quelques années après son mariage, Charles de La Porte semble avoir cédé le Francboisier à son frère Jacques, car, le 8 septembre 1652, c’est son frère, Jacques  qui est mentionné seigneur du Francboisier, lorsqu’il achète à Jehan Le Tailleur (fils de feu Michel Le Tailleur) une masure et des terres à Saint-Pierre-du-Boscguérard.

Le 21 avril 1660 ou 1661, Charles de La Porte acquit, en partie, La Ferté-Fresnel à Louise d’Houainville. En revanche, la famille ne possédait plus le fief de Vatteville.

A partir de cette date Charles s’éloigna du Vexin et du Roumois pour ce consacrer à ses terres de la Ferté-Fresnel, sur lesquelles il fit construire une verrerie.
Exploiter une verrerie était une des rares activités industrielles qu’un noble pouvait exercer sans déroger.

En 1689, Charles de La Porte résigne sa charge de conseiller au parlement.

Son fils, Nicolas Charles, baptisé le 14 décembre 1656, en la paroisse de Saint-Lô à Rouen, lui succède dans cette charge (le 6 juillet 1689), qu’il gardera jusqu’à son décès en 1716.
En 1696, Charles de La Porte décède à l’âge de 74 ans. (Le président Pellot mentionne la date de 1685 pour la résignation de sa charge et de son décès.)